Salariées/salariés, retraitées/retraités, que vous le vouliez ou non, les règles européennes impactent de plus en plus votre vie et votre travail. Les directions d’entreprises et les actionnaires l’ont compris : ils s’organisent à tous les niveaux. Les syndicats aussi, et c’est pourquoi la CGT fait partie de la Confédération Européenne des Syndicats pour être plus forts encore. Ensemble, nous nous battons pour plus de protection sociale et environnementale, plus d’égalité, de partage et solidarité. Ça n’est pas la vision du gouvernement Macron qui œuvre à protéger les seuls intérêts des plus riches. C’est encore moins l’action du Rassemblement national et de l’extrême droite en Europe dont les votes au Parlement trahissent le vrai projet. Le 9 juin chaque voix compte. Dans la suite de la mobilisation contre le report de l’âge de départ à la retraite et alors que le gouvernement Macron ne cesse de s’en prendre à celles et ceux qui travaillent et créent les richesses et font tourner nos services publics, la CGT appelle toutes et tous les salariés, privés d’emploi et retraités du pays à voter aux élections européennes du dimanche 9 juin 2024.
Apéritif du syndicat / Jeux pour les enfants / Ferme pédagogique / Petit train / Promenades en poney / Accro-branches / Restauration-snack (certaines activités payantes)
Concours de boules par équipe choisie / Beaux lots pour les vainqueurs !
Syndiqué·e·s ou pas, vous êtes les bienvenu·e·s, le but étant de passer un bon moment autour d'un pique-nique et vous permettre de faire connaissance avec nous et entre vous.
Être plus efficace, avoir une meilleure rémunération, gagner en attractivité, simplifier, fluidifier… C’est toujours avec un vocabulaire positif que sont mises en œuvre les pires réformes contre les salarié·es… On commence à avoir l’habitude ! Une fois de plus, la démonstration est faite que, pour le gouvernement, le « dialogue social » est essentiellement un monologue antisocial. Presque 5 ans après la désastreuse loi de « Transformation de la fonction publique » et la mise en place laborieuse d’un code de la Fonction publique à la place du statut des fonctionnaires, pourquoi donc une nouvelle loi ? Après avoir transformé la fonction publique, il faudrait maintenant la rendre plus efficace, ça ne suffisait donc pas ?
Les professionnels mobilisés s’ouvrent les portes du dialogue ! Les 14 et 21 mai 2024, c’est très nombreux que les professionnels de différentes directions et services de la DGAS (DITAS, DI, DPMISSP, DEF, CMPPD, Insertion…) ont participé aux A.G.
le Sénat présente une proposition de loi qui vise à concilier une activité
professionnelle avec la fonction d'assistant familial ! Selon les auteurs du texte, une telle solution permettrait d’intégrer les mineurs placés efficacement.
Après un diagnostic sur les possibilités offertes à la réfection de la climatisation dans le bâtiment d'Arenc, la collectivité a opté sur une réfection totale induite par la trop grande fragilité de l'installation existante.
Stanislas Guerini s’est dit « favorable » à la suppression des catégories A, B et C de fonctionnaires, qui seraient « un carcan » entravant leur évolution de carrière. Un argument « fallacieux », répond Natacha Pommet, secrétaire générale de la CGT des services publics, qui dénonce un nouvel assaut contre leur statut et une tentative de normaliser le recours aux contractuels, tout en faisant l’impasse sur la revalorisation des salaires.
Dès septembre 2023, la CGT alertait sur le PLF (projet loi de finances) 2024. Le 29 septembre 2023, la CGT a organisé une conférence de presse, lors de laquelle il a été mis en lumière :
« Nous sommes à la fin d’un cycle, à un instant crucial qui exige un sursaut. Il nous faut changer de braquet pour empêcher les catastrophes annoncées d’advenir. Et en ces temps de crise, l’histoire peut nous aider. Le programme du Conseil national de la Résistance, publié clandestinement en 1944, constitue une formidable source d’inspiration. »
Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT
Il y a quatre-vingts ans, dans une France vaincue par l’Allemagne nazie, le CNR inventait une société nouvelle. Au péril de leur vie, les chefs des réseaux, les délégués des principaux partis politiques, de droite comme de gauche, ainsi que les représentants des deux grandes confédérations syndicales de l’époque – la CGT et la CFTC – ont travaillé main dans la main à l’élaboration d’un programme révolutionnaire : « Les Jours heureux ». En son cœur, solidarité et mise en commun des richesses. Adopté en partie à la Libération, cet héritage est aujourd’hui en péril. D’où cette relecture personnelle et engagée de Sophie Binet, actuelle secrétaire générale de la CGT. Un livre de combat, de rassemblement et d’espoir.
(Grasset)
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